samedi, août 12, 2006

Nocturne

Pendant que les noirs crachats d'angoisse submergent mes nuits, je le vois franchir la porte de mon imagination
Il passe la main dans mes cheveux
Il pose ses lèvres sur mon front
Il reste là, en attendant que mes démons partent
Souffle la triste poussière qui me recouvre
Je me sens en sécurité
Je souris
Je m'assoupis.
Il s'en va.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

jamil jamil !

une touche de romantisme que ca fait un bout de temps que je l'ai pas lu de toi !

heee, ma7lah el 7ob ! non !