mardi, janvier 02, 2007

Tu t'arrêtes un peu. Ce n'est pas la fatigue qui te gêne même si tu as longuement marché. Tu veux juste regarder ou t'ont mené les vagues du quotidien. Tu recules un peu pour que le champ de vision s'agrandisse mais tu reviens aussitôt à ta place en faisant mine de n'avoir rien vu. Et tu continues ta marche solitaire.

Tu t'arrêtes un peu. Ce n'est pas la fatigue qui te gêne même si tu as longuement marché. Tu veux juste regarder ou t'ont mené les vagues du quotidien. Tu recules un peu pour que le champ de vision s'agrandisse et tu dis: "what a mess!" Et tu ne veux plus continuer.

Tu t'arrêtes un peu. Ce n'est pas la fatigue qui te gêne même si tu as longuement marché. Tu veux juste regarder ou t'ont mené les vagues du quotidien. Tu recules un peu pour que le champ de vision s'agrandisse et tu rebrousses chemin pour choisir une autre direction de départ.

Tu as longuement marché. Avoue que tu es fatigué! Inutile de t'arrêter, tu ne perdras que plus de temps à contempler le gâchis... Tu vas continuer, tu atterriras forcément quelque part.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

et t'as fait quoi toi après contemplation?

Unknown a dit…

@Sam: Je ne comtemple pas en cours de route mais avant de l'entamer. Je me rends très vite compte que ça va me retarder alors je me jette sur mon chemin le laissant me guider.:-) en général..

Flava a dit…

mm... j'adore ce que je viens de lire... c comme ça pour tout le monde je pense.... za77... ça m'arrive assez souvent de faire comme si je n'ai rien vu ou entendu (ça te fait souffrir moins)(pourtant ya des voix qui surgissent de nul part des fois)
La phase "what a mess" lol oui lol... et puis c généralement ça avant la phase faisons comme si je n'ai rien vu....
loool....
Même si j'essaye "d'être aware" de ce que je fais, je finis par toujours choisir de me laisser aller et de laisser le destin jouer un peu à sa mannière...

Anonyme a dit…

toujours aussi bien ecris, ne t'arretes pas sinon tu passeras ta vie à défaire ce que tu as fait!

Gattuso a dit…

moi ce n'est pas le chemin que je regrette mais le rythme de marche